• Nous sommes bien entendu tout à fait conscients de la réalité de l’accès à la pornographie à un âge de plus en plus bas, et parfois même, dès la maternelle pour une partie de ces enfants.

 

  • Ce fait destructeur est justement l’un des arguments phares, utilisés pour légitimer cette éducation à la sexualité.

 

  • Nous sommes convaincus qu’il existe d’autres moyens de protéger les enfants de ces contenus, que de leur parler de sexualité dès la maternelle :

    – suppression des écrans à l’école, de l’internet mobile, et des devoirs imposés via cette technologie.

    – apprentissage de l’anatomie et la biologie du corps humain, respect homme-femme … etc

 PRIMORDIAL ET INDISPENSABLE :  respecter la maturité et la sensibilité de chacun de nos enfants.

 

RETOUR SUR LA CIRCULAIRE circulaire n° 2018-111 du 12-9-2018 du ministère de l’E.N :

L’éducation à la sexualité se fonde sur les valeurs humanistes de liberté, d’égalité et de tolérance, de respect de soi et d’autrui. Elle doit trouver sa place à l’école dans un esprit de laïcité, de neutralité et de discernement. En effet, l’éducation nationale et l’ensemble de ses personnels agissent, en la matière, dans le plus grand respect des consciences et fait preuve d’une grande vigilance pour que les enseignements soient pleinement adaptés à l’âge des enfants. Cette éducation vise à la connaissance, au respect de soi, de son corps et au respect d’autrui, sans dimension sexuelle stricto sensu à l’école élémentaire. Elle est complétée, à l’adolescence, par une compréhension de la sexualité et des comportements sexuels dans le respect de l’autre et de son corps. L’enfance et l’intimité sont pleinement respectées.

👆 Posons-nous les bonnes questions . . .

En toute circonstance, les professionnels de l’enfance ont l’obligation de respecter l’intimité de l’enfant, le droit à la vie privée n’est pas réservé aux adultes : c’est un droit pour l’enfant consacré par l’article 16 de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), dont le Défenseur des droits est garant. Bien qu’assis juridiquement, ce droit est pourtant peu reconnu en pratique et trop souvent bafoué. Or, sans vie privée, l’enfant ne peut devenir un individu libre, autonome et respectueux de l’altérité.
Le rapport annuel 2022 consacré aux droits de l’enfant, intitulé « La vie privée : un droit pour l’enfant », met en lumière un sujet d’actualité qui questionne non seulement les enfants mais également le rôle et les pratiques de toutes les personnes qui sont à leur contact au quotidien : les parents et la famille, la communauté éducative, le corps médical, les professionnels de l’enfance et, plus largement, toutes les autorités en charge de leur protection.
Le respect de la vie privée des enfants implique également de les protéger de toutes les formes de violences – psychologiques, physiques et sexuelles – qu’ils peuvent subir et, pour mieux le faire, il est essentiel de forger chez eux une conscience de ce qui relève de l’intime.

« L’intérêt supérieur de l’enfant doit être la boussole dans toutes les décisions qui le concerne »

 


Penchons-nous également du coté des livres, que ce soit dans les coins lecture des écoles, ou dans les médiathèques, parce que là aussi il faut que les parents prennent conscience que nos enfants peuvent avoir accès à des contenus inadaptés, voire choquants . . .
Concernant le livre « Tu n’es pas obligée » trouvé dans une médiathèque

COURRIER ENVOYÉ AU DIRECTEUR DU SERVICE CULTUREL DE LA COMMUNAUTÉ DE LA COMMUNE CONCERNÉE :
Suite à notre entretien, voici quelques phrases que vous pourrez lire dans ce « véritable petit guide d’empouvoirement pour les ados » (selon l’éditeur) emprunté avec la carte de mon fils de douze ans à la médiathèque.
 » Tu n’es pas obligée d’accepter une éjaculation faciale, ni maintenant ni jamais. Par ailleurs, il s’agit d’un rapport à risque pour toi. Particulièrement si le sperme atterrit dans l’œil ou dans ta bouche. Tant que ton partenaire ne t’a pas présenté de test de dépistage d’IST, ce genre de pratique doit être évité.
En clair, de plus en plus d’acteurs se sentent autorisés à gifler leurs partenaires, les étrangler, les attraper par les oreilles lors de la fellation, les faire vomir en leur imposant une gorge profonde, etc.
Personne ne s’est réveillé un matin en se disant : « Tiens, j’aimerais voir une vidéo de quadruple pénétration avec une actrice qui vomit durant une gorge-profonde »
Et si l’envie te dit d’essayer, maintenant ou plus tard, alors grand bien te fasse !  » (en parlant du sexe à plusieurs)
Je vous invite à découvrir le reste dans les pièces jointes.
Comme convenu, je reste à votre disposition pour convenir ensemble des suites à donner.
Cordialement,
2/ LA RÉPONSE DU DIRECTEUR DU SERVICE CULTUREL DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
Je viens de m’entretenir avec *************, directrice de la médiathèque intercommunale, au sujet de vos démarches quant au prêt de l’ouvrage Tu n’es pas obligée.
Démarches récentes qui, toutefois, s’ajoutent à différentes prises à partie en direction du personnel de notre établissement et dont nous avons été alertés il y a quelques mois.
Les élus et moi-même avons discuté de cette situation.
Il en ressort ceci :
vous avez tout à fait le droit de ne pas donner de crédit au contenu d’un ouvrage, de le disqualifier, d’être offusqué. Cependant, vous ne pouvez pas en exiger la censure, notamment en isolant des phrases, sorties de leur contexte. Ce livre est édité en France par une maison d’édition qui ne se distingue aucunement par une ligne éditoriale encourageant ou légitimant des comportements déviants et répressibles. Elle est référencée sur des sites exemplaires de littérature jeunesse (https://www.ricochet-jeunes.org/editeurs/la-ville-brule) et figure sur les rayonnages de toutes les bibliothèques ou médiathèques.
Par ailleurs, l’ouvrage que vous pointez du doigt figure également dans de nombreux catalogues documentaires de différents établissements. La médiathèque intercommunale ne fait donc pas figure de porte-parole de telle ou telle tendance mais s’emploie à constituer ces collections comme le préconise le Manifeste de l’Unesco sur la bibliothèque publique : « Les collections doivent refléter les tendances contemporaines et l’évolution de la société de même que la mémoire de l’humanité et des produits de son imagination. Les collections et les services doivent être exempts de toute forme de censure, idéologique, politique ou religieuse, ou de pressions commerciales ».
Enfin, une bibliothèque n’est pas une école. Les enfants ne sont pas confiés aux bibliothécaires et empruntent sous la responsabilité de leurs parents.
En tant que citoyen, vous avez la liberté de vos opinions et nous ne les jugeons pas. Nous les respectons. Par contre, nous n’exercerons aucune censure injustifiée sous la pression.
Le métier de bibliothécaire exige de croiser des sources d’informations avant de faire l’acquisition d’un ouvrage. Un rapide balayage des critiques de cet ouvrage sur des sites de référencement permet de recueillir quelques phrases qui incitent à l’acquérir :
« Il ne reste plus qu’à espérer que cet essai nécessaire passe les portes des établissements scolaires » Libération
« Ovidie explore aussi les injonctions issues de la pornographie, faisant le rappel, salutaire, que personne n’est tenu de pratiquer des choses dont il n’a pas envie » Télérama
« Ovidie dénonce régulièrement les dérives de l’industrie pornographique » Le Soir
« Tu n’es pas obligée est LE livre à mettre entre les mains de tous les ados » L’info tout court
Ainsi, il me semblerait plus pertinent de vous adresser directement à l’éditeur afin d’exposer vos griefs. Plutôt qu’à une équipe de bibliothécaires qui fait son travail consciencieusement. Cet ouvrage retrouvera donc sa place dans les rayonnages de notre établissement car nous allons en faire l’acquisition à nouveau.
Cordialement,
***************
Directeur du service culturel

 

Ce papa vous explique et vous démontre dans la vidéo ci-dessous,  ce que vous ne soupçonnez pas forcément. Preuve en est que ces contenus peuvent être accessibles dans ces endroits là aussi  :

 

Encore une fois, posons nous les bonnes questions . . .

Est-ce  » complotiste  » de remettre en cause ces choses ?

Parle-t-on de  » dérives sectaires  » lorsqu’un parent s’oppose à cela ?

Avons-nous encore ce droit ?

Nous voulons justement vous partager ce qui nous est rapporté, non pas pour vous convaincre, mais afin de vous faire prendre conscience que la machine est en marche, que nos enfants sont en première ligne et que si nous ne faisons rien, c’est l’avenir de tous qui en sera impacté …

Nous tirons la sonnette d’alarme, et vous invitons à nous contacter afin de nous unir pour faire barrage, afin que nos enfants puissent vivre dans un environnement sain. Chaque être humain a le droit de refuser d’exprimer certaines pensées, ou certains sentiments, qu’il souhaite garder pour lui. D’ailleurs la pudeur n’est pas uniquement physique, elle est aussi morale.

Merci à   » JULIE & LEELOU  » de nous avoir permis de participer à leur émission autour de ce sujet grave et plus que préoccupant !

Intervention de plusieurs professionnels ainsi que des témoignages poignants de parents choqués, inquiets mais surtout déterminés à ne pas accepter l’inacceptable . . .

PARENTS REPRENEZ VOTRE POUVOIR SUR VOTRE AUTORITÉ

PARENTALE !

 

🚨 Alerte #Signalement 🚨

 

#EducationSexuelle CM2
🔴 Sodomie, fellation, vaccin contre le « papillon » et médicaments qui bloquent les poils au programme d’éducation à la sexualité de CM2 d’une école dépendant de l’académie de Lyon !

 

Quelques témoignages d’enfants de CM2 après cette journée :

-> ”Pour le plaisir les filles sucent le pénis des garçons
-> “Les garçons sucent le vagin mais peuvent avaler quelque chose
-> “Pour le plaisir les filles peuvent caresser les testicules du garçon
-> “On peut faire le sexe dans les fesses

⬆️ Voici le courriel des Parents En Colère envoyé à l’école en question ainsi qu’aux autorités et à une multitude de médias.
Des témoignages, un signalement ?
Contactez nous :
https://www.parentsencolere.fr/contact/

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#ProtegeonsNosEnfants
#ParentsEnColere #EnfantsEnDanger
#NeTouchezPasAuxEnfants