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Mardi 13 août 2924 / 20h30

  Media: TV. ADD / La télévision des esprits libres     

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NON À LA SEXUALITÉ À L’ÉCOLE

             L’émission La Parole Au Peuple, animée par Bernard Claudel et Véronique Padilla de l’Alliance du peuple, aborde un thème sensible et vaste, à quelques jours de la rentrée scolaire 2024 afin d’interagir avec les acteurs actifs sur le terrain, défenseurs des droits des enfants qui disent NON à la sexualité à l’école, mais pas que.

Les Collectifs Parents En Colère ont accepté l’invitation, représentés par Isabelle, ravie d’être aux côtés de Denis, président de l’association La Coop (Albi) unissant divers collectifs et aux côtés de Diane des Dépêches Citoyennes, média citoyen indépendant (Metz), avec qui les PEC coopèrent déjà sur diverses actions.

Ces échanges amènent sur la table les aspects épineux de la dite éducation à la sexualité.

📌 L’opacité des mesures éducatives:

Nous est présentée une riche perception du sujet afin de mieux analyser l’obligation imposée par l’Education Nationale, interpelant de plus en plus les parents et les citoyens, notamment l’opacité des réels objectifs concernant l’Evars (élémentaire cycle 3, collège cycle 3 et 4 et lycée) et l’EVAR (maternelle cycle 1 et élémentaire cycle 2).

En effet, une « vision globale de l’éducation » est volontairement conduite, relative aux recommandations internationales. Elle inclut la sexualité dans une stratégie de « santé sexuelle« , à travers laquelle l’aspect « affectif et relationnel » est immiscé et aussi enseigné. En d’autre terme, un changement des mœurs est mis en avant par une aristocratie au sein des établissements scolaires, sans que les parents en saisissent tous les enjeux.

📌 Une appellation sous-jacente

L’éducation à la sexualité commence à faire parler d’elle. Bien qu’un « projet de programme » soit apparu en mars 2024, peu de parents ont pris connaissance du contenu et on ne sait pas trop à quoi s’attendre pour cette rentrée 2024.

Annoncées de manière « préventive« , ces séances concernent aussi la vie affective et la vie relationnelle des enfants et des jeunes. Devant les lois, elles ne répondent pas au respect de l’intimité de l’enfant ni à sa vie privée et familiale.

Les ouvrages d’Ariane Biheran, psychopathologue, dont « L’imposture des droits sexuels » (2022), nous éclaire avec la certitude que « l’enfant n’a pas de sexualité« . A partir de cette petite phrase, tout bascule, et « ces séances n’ont pas lieu d’exister » souligne Diane.

Cette éducation globale implicite fortement une « mentalité à caractère perverse et pédophile » qui s’attaque aux enfants, d’autant plus que seulement 3% des plaintes de violences sexuelles sur les mineurs sont traitées. Le juge Édouard Durand le rappelait aussi lors de la plénière du Conseil Economique Social et Environnemental, annonçant que le taux de condamnation était de zéro.

Y’a-t-il réellement une volonté de « préserver l’enfance« , sachant que rien n’est fait non plus pour « bloquer l’accès à la pédocriminalité« .

📌 Le consentement, l’état et l’autorité parentale

La notion du consentement est au cœur de ce programme, imposé à l’enfant mineur alors qu’il n’est pas en capacité de consentir et que les parents sont écartés du débat. Bernard Claudel insiste sur le fait que « l’état se mêle de ce qui ne le regarde pas, l’état pense pour nous, sans demander notre avis, l’état décide pour nous, il fabrique les enfants pour nous« . L’autorité parentale est ainsi mise de côté, comme le rappelle Isabelle, pour cette rentrée 2024, « les parents deviennent partenaires de l’Education Nationale et des professeurs« , une valeur inversée, touchant les « règles de la famille » dans une volonté propre de « substitution » à l’autorité parentale, semble-t-il.

📌 Être Ensemble et dans la légalité

Face à ces attaques insidieuses contre l’autorité parentale, il est primordial que les parents soient dans la légalité et accompagnés dans leurs démarches de revendication contre l’Evars/Evar, comme les bénévoles des Collectifs PEC le font, pour éviter l’isolement des familles et l’enquête au sein des foyers par les services sociaux (et autres institutions: éducation nationale, planning familial, partenaires etc), suite à d’éventuels signalements abusifs voire mensongers. Nous rappelons qu’ils sont de plus en plus fréquents et si c’était le cas, les parents sont dans leur droit de porter plainte. Nous rappelons que les Collectifs PEC font des signalements systématiques auprès du procureur.

D’où la « nécessité » de s’allier tous ensemble afin de:

👉 Informer et avertir les parents de la subtilité des séances

👉 Regrouper toutes les initiatives

👉Créer des assemblées citoyennes et scolaires

👉 Provoquer une mobilisation de masse

L’objectif final étant de révoquer cette éducation complète et défendre les enfants. « Tous les enfants », comme souligne Bernard Claudel, « pas seulement ceux de 2 ans mais aussi ceux de 16 ou 20 ans« .

📌 Des conséquences oubliées

« Se mobiliser, c’est d’abord valider une alerte » expose Denis, mais aussi avoir une prise de conscience du danger de l’EVARS et dérivés, dont les enfants n’ont eux-mêmes pas conscience.

Sont alors évoquées les conséquences traumatiques causées par ces séances, pouvant « se répéter » à chaque nouvelle. Des enfants « choqués » seront des futurs adultes beaucoup plus manipulables avec une sexualité détruite et perversive, voire avec d’autres addictions émergentes.

Ces séances ne seraient dispensées que par 15% des établissements scolaires, mais le nombre des séances n’est pas clairement défini dans la circulaire, stipulant « d’au moins 3 séances annuelles« , pouvant alors être décuplées à la guise de l’établissement, toute matière confondue et, toujours, sans que les parents n’en soient avertis. Ni avertis des sorties scolaires en vue de spectacles sur les stéréotypes de l’identité de genre mais encore, des lectures inclusives souvent en partenariat avec les municipalités ou tout autre lieu de sociabilisation des enfants.

Que se passe-t-il dans les établissements scolaires ?

Il est évident que le positionnement des professeurs est attendu, notamment sur ces approches éduquées traumatisant les enfants et les jeunes. Sont-ils conscients de leur responsabilité individuelle engagée, comme exposée dans la campagne nationale des PEC en juin 2024, par un courrier de rappel à la loi envoyé aux acteurs de l’Education Nationale.

L’opacité de cette éducation sexualisante aura été largement identifiée avec les invités de cette émission.

Nous rappelons que nos collaborateurs d’Onest, spécialistes et professionnels de santé, avec qui, les PEC mutualisent des compétences et des connaissances, notamment à travers leurs différents travaux et colloques, agissent pour la protection de l’enfance et pourraient se poser la même question: Comment se fait-il que ces conséquences traumatiques aient été occultées par les dits experts médiatisés ?

Ne nous trompons pas d’experts et d’une évidence, toutes ces discussions autour de la dite éducation à la sexualité aux multiples facettes ne devraient pas avoir lieu étant donné l’illégalité de ces séances devant les lois.

📌 Action en cours

👉 Action Nationale / TOUS À NOS AFFICHES, à l’initiative du Collectif Ensemble pour les enfants en collaboration avec les PEC et d’autres associations afin de favoriser la mobilisation des parents et citoyens. En étant nombreux dans une même école, l’impact médiatique ne sera forcément pas le même.

👉 SÉMINAIRE ouvert à tous, organisé par l’Alliance du Peuple afin d’aborder diverses solutions pour reconstruire le pays / le 24 août 2024 (Tarn)

« Le courage est contagieux »

🎥🎥🎥 L’émission en vidéo 💫

👉 1ère partie

https://crowdbunker.com/v/VnDsYFLSrF

👉 2ème partie

https://crowdbunker.com/v/yiT55fs6

Liens :

✅ Alliance du peuple

https://alliance-du-peuple.eu/language/fr/accueil/

✅ Dépêches Citoyennes

https://depeches-citoyennes.com/

✅ La Coop

✅ Parents en Colère

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